Dans un climat où les rumeurs se propagent comme du feu sur de l’herbe sèche, le juriste Guelord Kipasa Mundho sort de son silence pour défendre, avec sobriété mais fermeté, le Ministre d’État, Ministre de la Justice, Constant Mutamba, au cœur d’une affaire déjà désamorcée : celle des supposés 39 millions USD pour une prison à Kisangani.
Pour Kipasa, insister sur ce dossier, c’est vouloir rallumer un feu déjà éteint par les seaux d’eau versés par le Ministère de la Justice et celui des Finances. Deux communiqués clairs et limpides ont balayé toute équivoque : aucun contrat n’a été signé, aucun fonds n’a été décaissé.
« On ne tire pas sur une ombre. Ceux qui s’acharnent à faire vivre un dossier mort depuis longtemps perdent leur énergie dans une bataille fantôme », déclare le juriste.
Il dépeint Constant Mutamba comme un chêne dans la tempête, un homme resté droit au milieu des rafales de pressions, d’offres et de manœuvres. Là où d’autres auraient fléchi, le Ministre de la Justice, selon Kipasa, a tenu ferme, gardant sa dignité et celle d’une jeunesse qu’il incarne avec fierté.
« Si certains cherchent une faille dans cette forteresse morale, qu’ils sachent que le terrain du détournement est un marécage dans lequel Constant Mutamba ne s’est jamais aventuré », image-t-il.
Kipasa Mundho invite les critiques à changer de boussole, car naviguer sans cap dans l’hostilité gratuite n’amènera personne à bon port. Le débat démocratique, souligne-t-il, mérite mieux que des tempêtes de poussière soulevées pour aveugler l’opinion.
« Le Congo a besoin d’éclaireurs, pas de pyromanes. Ceux qui veulent contester doivent le faire à la lumière des faits, pas dans l’ombre des montages », conclut-il.
En somme, le juriste rappelle que la vérité a déjà parlé, et que vouloir faire d’un homme propre un symbole de scandale, c’est comme vouloir salir un miroir en lui reprochant ce qu’il reflète.
