Alors que des vents contraires soufflent avec rage sur les institutions de la République, une vague de désinformation tente de submerger le Ministère de la Justice dans une mer d’accusations infondées.
Une machination bien huilée, qui brandit le spectre d’un détournement fictif de 39 millions USD, cherche à faire chavirer l’un des bastions de l’éthique gouvernementale. Mais la vérité, telle un phare dans la nuit, éclaire les faits et dissipe les brumes de la calomnie.
Un mensonge cousu de fil blanc
À travers une mise au point limpide, le Ministère de la Justice démonte point par point une opération de manipulation d’opinion qui n’a d’autre but que de salir son image: « Aucun contrat de 39 millions USD n’a été signé. Aucun franc n’a quitté les caisses du Trésor ou celles du Ministère. La prétendue lettre de la DGCMP qui circule sur les réseaux sociaux n’est rien d’autre qu’un faux grossier, un tissu de mensonges cousu de fil blanc.
La montagne d’accusations s’effondre face au rocher solide des faits. Et face à ceux qui hurlent au loup sans preuve, la Justice choisit de répondre non pas par le tumulte, mais par la loi.
Une chasse aux sorcières contre les réformateurs
En transformant une rumeur en affaire d’État, certains acteurs politiques cherchent à exécuter un procès d’intention contre le Ministère, dont la rigueur dérange et l’intégrité gêne.
Le Ministre de la Justice, qui porte le glaive de la réforme et le bouclier de l’éthique, est devenu la cible privilégiée de ceux qui prospèrent dans l’opacité et tremblent à l’idée d’un système assaini.
Derrière cette offensive médiatique se cache un dessein plus obscur : saboter l’effort de redressement du secteur judiciaire et pénitentiaire.
Cette cabale, maquillée en croisade pour la transparence, est en réalité une opération de camouflage destinée à détourner l’attention de leurs propres turpitudes.
RAWBANK, ZION, et les faux procès : l’écran de fumée
L’affaire ZION CONSTRUCTION est brandie comme une preuve accablante. Mais en vérité, elle n’est qu’un château de sable construit sur la rumeur. On évoque une entreprise sans expérience, une banque impliquée, des paiements rapides… Pourtant, aucune preuve juridique, aucun document authentique ne lie le Ministère de la Justice à un acte répréhensible.
L’utilisation du nom de RAWBANK, la mention d’un compte, et l’amalgame entre une signature inexistante et un prétendu décaissement sont autant de rideaux de fumée destinés à créer un scandale là où il n’y a que du vide. La réalité est implacable : le Ministère de la Justice n’a ni signé, ni ordonné, ni versé quoi que ce soit dans ce dossier
La Justice ne reculera pas devant la meute
Là où certains hurlent avec les loups, le Ministère choisit la voie de l’État de droit. Des poursuites judiciaires seront engagées contre les auteurs de ces allégations mensongères. Car il ne s’agit plus ici d’un simple malentendu administratif, mais d’un acte de sabotage contre les fondations mêmes de la République.
Cette tentative d’assassinat médiatique contre la Justice congolaise est non seulement indigne, elle est dangereuse. Dans un pays encore meurtri par les conflits et les injustices, miner la crédibilité de la Justice, c’est fragiliser la dernière digue qui nous sépare du chaos.
Enfin, le Ministère de la Justice n’est pas un château de cartes qu’une rumeur peut faire tomber. Il est un pilier de marbre, debout face aux tempêtes, inébranlable dans sa mission. Il ne sera ni intimidé, ni corrompu, ni manipulé. Car au-delà des mensonges, la vérité finit toujours par triompher. Et cette vérité, c’est que ceux qui prétendent défendre l’État sont parfois les premiers à tenter de l’enchaîner.
Flodel NKIMA
