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SOCIETE

CSAC : le Bureau Bosembe au bord du naufrage, une honte nationale dénoncée par REDHAC!

Il fallait que cela éclate au grand jour. Et c’est désormais chose faite. L’effondrement moral, managérial et institutionnel du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) a été mis à nu par ceux-là mêmes qui y siègent.

Trois Hauts Conseillers de cette Institution destinée à appuyer malheureusement la démocratie, dans un geste de courage rarissime, ont dénoncé la gestion calamiteuse, opaque et autoritaire du Bureau dirigé par Christian BOSEMBE.

Une dénonciation courageuse qui leur a valu… une interpellation musclée par le Conseil National de Cyberdéfense. Une dérive totalitaire qui indigne REDHAC.

Un Bureau discrédité, des pratiques indignes

Soins médicaux inexistants pour les Agents. Salaires impayés. Installations décentes refusées aux hauts conseillers deux ans après leur nomination. Absence de bureaux. Silence arrogant face aux réclamations. Payement des primes toujours à la main avec des longues machettes pourtant chaque Agent a un compte bancaire. La concentration de tout à un seul individu ignorant simplement l’existence des autres.

Ce tableau ainsi dressé par le REDHAC est apocalyptique. Mais le pire réside dans l’attitude d’un Bureau qui préfère réprimer les vérités plutôt que de réparer ses fautes.

Jean Pierre EALE IKABE, Arthur MAYALA MABU et Serge KABONGO NGOMELE ont osé briser l’omerta. Pour cela, ils ont été convoqués comme de vulgaires criminels, interrogés pendant des heures par le CNC, puis relâchés tard dans la nuit. Quelle honte pour un pays qui prétend défendre les droits, la démocratie et la bonne gouvernance !

Un coup d’État silencieux contre la redevabilité


REDHAC ne mâche pas ses mots : ce qui s’est passé le 3 avril 2025 est une tentative d’étouffement orchestrée par un Bureau aux abois, retranché dans l’abus de pouvoir. Ce n’est ni plus ni moins qu’un harcèlement d’État à l’encontre de ceux qui refusent la médiocrité.

Plutôt que d’assainir la gestion du CSAC, le Bureau BOSEMBE se comporte en despote moderne, terrorisant ses collègues par la force, la peur et la répression. Cette cabale contre les Hauts conseillers est une insulte à l’éthique républicaine et une menace directe contre l’État de droit.


Un appel clair : il faut en finir avec ce système d’impunité


REDHAC et sa Coalition pays-RDC exigent l’arrêt immédiat de toute intimidation contre les défenseurs des droits humains, les journalistes, les syndicalistes et les membres du CSAC qui dénoncent l’arbitraire. Ils réclament aussi des sanctions exemplaires contre le Bureau actuel, devenu un bastion de la honte et de l’incompétence.

Il ne s’agit plus d’un simple malaise institutionnel. C’est une urgence morale et politique. Le Bureau BOSEMBE a trahi sa mission. Il ne régule plus les médias, il les bâillonne. Il ne garantit plus l’accès à l’information, il entretient l’opacité. Il ne protège plus les droits, il les piétine.

L’heure n’est plus aux communiqués tièdes. Il faut un sursaut national. Le CSAC mérite mieux que cette parodie de gouvernance. Le peuple congolais aussi.

Ci-dessous le communiqué

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