Suite aux accusations portées contre lui et son épouse José Posho dans une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, Joël Kanyinda a sollicité notre média ce dimanche, 22 décembre 2024,pour rétablir les faits.
Voici sa version des événements :
Joël Kanyinda confirme que la dame en question a effectivement travaillé chez lui en 2022, accompagnée de son fils, qui intervenait pour des tâches ménagères.
Cependant, il affirme que leur collaboration s’est arrêtée après un mois en raison de pertes d’argent constatées à domicile, attribuées à la femme de ménage, seule personne ayant accès à certaines zones de la maison.
Selon lui, la dame et son fils ont par la suite trouvé un autre emploi. Il précise qu’il n’était plus en contact avec eux à partir de mars 2022 et que, lorsqu’il a appris le décès du jeune homme en août 2022, celui-ci travaillait ailleurs.
Joël Kanyinda déclare également que, bien qu’il comprenne la douleur liée à la perte d’un enfant, il rejette tout lien entre lui ou son épouse et ce drame. Il souligne que des pressions auraient été exercées par la famille du défunt pour obtenir un dédommagement, ce qu’il a refusé, n’ayant selon lui aucun lien avec les circonstances du décès.
Les tensions ont récemment culminé lors d’un incident survenu à l’église où son épouse se trouvait. Joël Kanyinda explique que la mère du défunt serait arrivée, couteau à la main, menaçant de mort son épouse et l’accusant de meurtre. Cet acte a conduit à l’intervention des gardes de sécurité et au transfert de l’affaire aux autorités compétentes.
Joël Kanyinda se dit serein face à ces accusations et assure que lui, son épouse et d’anciens employés sont prêts à témoigner pour clarifier la situation. Il appelle à la prudence face à la diffusion de vidéos et d’informations qu’il qualifie de diffamatoires, insistant sur le fait qu’il n’a aucun rôle dans cette affaire tragique.
Notre média rappelle son engagement à garantir un traitement équilibré et équitable des informations. Nous resterons attentifs à l’évolution de cette affaire qui est déjà en justice.
La rédaction
