Dans un contexte où la République Démocratique du Congo, RDC, cherche désespérément à restaurer la paix et à rétablir la justice pour les millions de familles endeuillées par des décennies de violences, certaines voix s’élèvent pour distraire et détourner l’attention des priorités nationales. Simaro Ngongo, porte-parole autoproclamé de Corneille Nangaa, condamné à mort, et relais des intérêts de Paul Kagame, incarne cette stratégie de diversion et de confusion. Il est temps de dénoncer les véritables intentions derrière ses déclarations et de rappeler les responsabilités des ennemis de la paix.

Kulunas et criminels de l’Est : deux faces d’une même menace
Les Kulunas, gangsters violents qui sévissent dans les rues de Kinshasa, et les criminels opérant sous les ordres de Paul Kagame à l’Est, partagent un point commun : ils sont des instruments de la déstabilisation et du chaos. Tandis que les premiers terrorisent les citoyens dans les zones urbaines, les seconds pillent, violent et massacrent dans les provinces déchirées de l’Est, au service d’intérêts étrangers et de leurs complices locaux.
Simaro Ngongo, au lieu de reconnaître ces réalités accablantes, cherche à détourner l’attention des responsabilités claires de ses mentors. Il tente de politiser un enjeu de sécurité publique, s’attaquant maladroitement à des figures politiques et religieuses tout en protégeant les véritables instigateurs du désordre, notamment Corneille Nangaa et Paul Kagame.
Corneille Nangaa, ancien président de la CENI, porte un lourd passif dans l’histoire récente du pays. Condamné à mort pour sa complicité présumée dans des crimes contre l’État et des malversations, il continue de tirer les ficelles grâce à des relais comme Simaro Ngongo. Ce dernier, en agissant comme une caisse de résonance pour des intérêts criminels, cherche à décrédibiliser l’État congolais et ses efforts pour restaurer la justice.
Corneille Nangaa : un condamné à mort qui manipule depuis l’ombre
Alors que le gouvernement s’efforce de rendre des comptes aux citoyens, Ngongo joue le rôle de diversion pour sauver Nangaa et ses adeptes. Les accusations infondées contre la famille Tshisekedi ou l’UDPS ne sont qu’un écran de fumée destiné à protéger ceux qui endeuillent les familles congolaises à l’Est.
Paul Kagame : le véritable parrain du chaos à l’Est
À l’Est, les forces armées fidèles à Paul Kagame continuent de semer la terreur, soutenues par des multinationales avares des richesses naturelles du Congo. Ces groupes armés, qui commettent des atrocités innommables, trouvent un soutien tacite dans des personnalités comme Corneille Nangaa, dont les intérêts convergent avec ceux du Rwanda.
En accusant à tort les autorités congolaises et en dénonçant la peine de mort comme une « stratégie politique », Ngongo Simaro dévoile son véritable agenda : protéger Kagame et ses réseaux tout en affaiblissant la souveraineté congolaise.
Appliquer la justice : une réponse ferme et nécessaire
Face à ces manœuvres, l’État congolais doit rester ferme. La peine de mort, bien qu’âprement débattue, représente une réponse proportionnée aux crimes les plus odieux, qu’ils soient commis par les Kulunas à Kinshasa ou par les criminels armés à l’Est.
La justice doit frapper de manière équitable, en garantissant que ceux qui endeuillent les familles et sapent la paix paient le prix de leurs actes. Cela inclut les gangs urbains, les complices des forces étrangères, et les figures politiques et criminelles qui les soutiennent, comme Corneille Nangaa et ses relais locaux.
Un appel à l’unité nationale contre les ennemis du peuple
Le peuple congolais ne peut se permettre d’être divisé par des discours populistes et haineux. Il est urgent que toutes les forces vives du pays – société civile, gouvernement, partis politiques et citoyens – s’unissent contre ceux qui soutiennent le chaos et sapent les efforts pour la paix.
Simaro Ngongo, Paul Kagame et Corneille Nangaa incarnent une alliance contre la RDC. Ils ne doivent pas distraire le peuple de sa quête de justice et de paix. Leur stratégie de diversion, aussi habile soit-elle, ne détournera pas les Congolais de leur détermination à bâtir une nation forte, unie et souveraine.
Flodel NKIMA
