Dans une réflexion purement scientifique, Serge NDJIBU, Rapporteur adjoint du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication a donné une voie sûre pour la résolution de dossiers de cas invalidés par la CENI. D’après lui, il est nécessaire que ceux qui ont été lésés aient au moins la possibilité de saisir une juridiction de l’ordre judiciaire, la Cour Constitutionnelle le cas échéant, pour faire valoir leurs prétentions quant à la violation manifeste de leurs droits. L’application d’une mesure ou d’une décision portant atteinte aux droits fondamentaux et libertés de tiers sans aucune possibilité pour les concernés d’apporter leurs moyens de défense est une absurdité juridique qu’il appartient à la Haute Cour de corriger. Ne revêtant que d’une peau scientifique sans se placer en plaideur faveur des récalcitrants qui auraient plombé la transparence du quatrième processus électoral de la troisième République. Ci-dessous ‘’ l’intégralité de la réflexion.





