Une dénonciation de l’Association Nationale des Victimes au Congo, ANVC, signée à Kananga, le 02 janvier 2024, a été adressée au Procureur général près la Cour de Cassation contre Monsieur Christian MWANDO, Cadre du parti politique Ensemble pour la République et l’un des bras droit du candidat N°3 à la présidentielle de 2023, Moïse KATUMBI, pour incitation à la haine tribale.
Selon cette requête, il est reproché à Christian MWANDO d’avoir, en date du 25 décembre 2023, tenus de propos tribaux et séparatistes qualifiant les Lubas de talibans en les accusant d’être à la base des attaques dont il est victime. Lesquels propos ont conduit aux représailles des Kasaiens qui sont contraints de regagner leurs provinces respectives.
Très serein et sûr de ses propos tenus, connaissant mieux les méandres de la politique congolaise avec ses modes opératoires, Christian MWANDO n’a pas voulu se faire victime expiatoire. Il a, sur dans un tweet dénoncé ce qu’il sous entend être un complot prémédité pour l’anéantir politiquement «qui veut noyer son chien l’accuse de rage dit-t-on … », souligne-t-il.
https://x.com/mwandochris/status/1738996501295054961?s=20
Par ailleurs, il met à défi quiconque pour prouver dans ses propos d’ailleurs radiodiffuser sur les antennes de Malayika TV, là où il aurait prononcé les propos lui attribués. «Je mets quiconque au défi de trouver dans mes propos du 25/12, devant les candidats Katumbistes (dont les Kasaiens), des accusations contre les ressortissants du Kasai ou des mentions des Talibans », a-t-il conclu


